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13 juillet 2010 2 13 /07 /juillet /2010 06:50

Par Yves Belmont


http://www.pratique.fr/sites/default/files/articles/difference-SICAV-FCP.jpg



Est-il recommandé de faire comme pour les actions ? A la baisse ? Si oui, comment repérer le bon point d'entrée ?


Choisir un fonds, c'est d'abord choisir un gérant, voire un team. Choisir un gérant, c'est être à l'aise avec son style de gestion, sa maîtrise des risques, les délais de sortie (degré de liquidité), les différents frais et commissions (performance, gestion), la devise du fonds, sa transparence avec notamment l'accès aux positions.


Pourtant avant de sélectionner un gérant, il faut être au clair avec la répartition des actifs que l'on souhaite. Dans cette perspective, le Forecast investissement de Jean Christophe Bataille est particulièrement instructif. En fonction de l'allocation souhaitée, il s'agit de compléter les parties manquantes et le cas échéant de confier certaines poches d'investissement à des gérants.


Ensuite, bien sûr, il y a le timing ... Résumé du processus d'investissement :


1. Examiner périodiquement son allocation d'actifs. Au moins une fois par mois, voire plus en cas d'événement majeur (11 septembre, faillite Lehman Brothers, etc)


2. Déterminer les modifications à apporter en terme de répartition


3. Décider quelle partie investir à titre personnel, quelle partie investir à travers un ou plusieurs gérants


4. Identifier les meilleurs gérants dans les domaines retenus


5. Mettre ces gérants sous observation (étudier leurs performances dans différentes situations de marché, comparer ce qu'ils disent avec ce qu'ils font)


6. DECIDER


7. SUIVRE


Avant tout, il s'agit de minimiser le risque d'erreurs lié au choix d'un investissement et d'optimiser le moment de son exécution. Dans le prochain article, je détaillerai un cas pratique, les obligations liées à l'inflation de novembre 2009 à juillet 2010.


En attendant, pour accéder au comparatif de fonds en obligations liées à l’inflation que j'avais déjà publié l'an dernier, cliquez ici (pour atteindre ensuite les interviews des gérants, cliquez sur les descriptifs de chaque fond --> Click valor to learn more:).

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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 13:16
Par Yves Belmont.

Si les taux d'intérêt remontent les obligations indexées à l'inflation ne chute pas comme les obligations à taux fixe mais car les taux augmentent en général en anticipant une inflation future.

Par ailleurs, les obligations liées à l'inflation bénéficient souvent d'une protection du capital (à l'émission, pas si il y a eu augmentation de la valeur boursière provoquée par une hausse de l'inflation et qu'il y a ensuite une baisse de l'inflation).

En quoi est-ce le moment opportun pour se positionner ?

- Taux bas et stable. Donc, les taux ne peuvent que remonter.
- Inflation quasiment au plancher et déflation peu probable. Donc l'inflation ne peut qu'augmenter.

La question centrale qui agite tous les stratèges est: 

Quand l'inflation commencera-t-elle à croître ?

 
http://docs.google.com/File?id=d8f6mxx_1162fcqvkkcj_b


Source: BCV, Fernando da Silva le 27 janvier 2010

En attendant, les obligations indexées à l'inflation apporteront du rendement, qui continuera en valeur réelle avec le début de l'inflation. Tout en protégeant le capital également en valeur réelle.

Et bien sûr la question de vendre se posera à un certain moment :  ?


Pour David Diwan (gérant de LCF Edmond de Rotschild Prifund Inflation Linked Bonds),
 il faudrait vendre dès que les principales  banques centrales commenceront de concert leur cycle de hausse des taux d’intérêt de manière robuste et non pas esthétique (comme Paul Volcker de la FED dans les années 1980). 

Une simple hausse de 25pbs n'est pas suffisante, il faudrait plusieurs mouvements de hausse pour convaincre le marché obligataire de la volonté des banques centrales de venir à bout des tensions inflationnistes.

En outre, lorsque les primes d’inflations seront supérieures aux attentes d’inflation future ce sera également le moment de les vendre, car le coût de protection serait dans ce cas considéré comme trop cher.

Pour aller plus loin: 

Le 29 janvier 2010: Inflation, OUI, mais quand ? Quels sont les facteurs clés ?
  Cliquez ici

Le 17 décembre 2009: Le monde est inflationniste (par Jean Christophe Bataille),  
Cliquez ici

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18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 06:50
Par Yves Belmont.


http://www.internationalposter.com/pimages/USL07084.jpg

Fonds et Sicav monétaires ou obligations indexées sur l'inflation ?

Dans quelle mesure les obligations indexées sur l'inflation sur-performent-elles l'inflation en comparaison des Sicav monétaires ?

Les obligations indexées sur l'inflation, c'est le moment ...

Aujourd'hui les Sicav monétaires ne rapportent quasiment plus rien depuis l'abaissement du taux directeur de la BCE.
Dans le cadre d'une allocation de cette fraction de votre patrimoine sur un produit monétaire "sans aucun risque", souscrire une obligation indexée sur l'inflation est-ce plus rentable ?

Les rendements proposés sur les fonds communs de placement et les SICAV monétaires suivent les taux de marché actuellement au plus bas.

Déjà, l’an dernier Les fonds monétaires et de trésorerie ont délivré un rendement annuel moyen très faible: ils ont terminé l’année à 0,96% selon Europerformance. Depuis le début janvier 2010, la performance moyenne des fonds monétaires ne s’est guère améliorée.

Les rendements annualisés des meilleurs fonds monétaires tournent autour de 2,75% depuis plusieurs années.

En plus (ou plutôt en moins !) il convient de déduire de cette rémunération les frais d’entrée (parfois jusqu’à 5% de la somme investie) et la fiscalité variable selon l’enveloppe fiscale retenue. Autrement dit, aujourd'hui, mieux vaut oublier les fonds et Sicav monétaires.

Quid des obligations liées à l’inflation ?

En 2010-2011, ce type d'obligation devrait bénéficier de trois moteurs principaux de performance:

- Les variations de taux réels;

- Les anticipations d’inflation;

- l’inflation réalisée;

Selon Dieter Gassner, gérant du fond LGT Bond Fund Inflation Linked, il est à prévoir que les obligations liées à l’inflation sur-performent les obligations en 2010.

De plus, les Etats continueront à émettre de faibles volumes de dette indexée sur l’inflation. Ce déséquilibre entre l’offre et la demande continuera d’être en faveur des obligations indexées sur l’inflation (source: Marion Le Morhedec, fond AXA WF - Global Inflation Bonds).

Enfin, d'après David Diwan (gérant de LCF Edmond de Rotschild Prifund Inflation Linked Bonds), il faudrait acheter les obligations liées à l’inflation dès maintenant.

Le contexte actuel est très propice à ce type d’actifs car nous sommes dans une longue période de taux d’intérêt très bas, ce qui augmente les craintes d’une reprise de l’inflation, notamment lorsque les signes d’amélioration potentielle de la croissance mondiale apparaissent.

Les opérateurs de marché pensent que les banques centrales telles la FED et la BCE n’augmenteront pas leurs taux rapidement, ce qui accroit encore les craintes d’un dérapage inflationniste.

Enfin, les primes (breakeven’s) d’inflation future « pricés » dans les obligations liées à l’inflation sont plus basses que leur moyenne historique, donc le coût de protection est considéré comme peu cher.

Pour accéder au comparatif de fonds en obligations liées à l’inflation , cliquez ici pour atteindre ensuite les interviews des gérants, cliquez sur les descriptifs de chaque fond --> Click valor to learn more:).


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18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 06:30


Par Yves Belmont

En règle générale, si l'investisseur anticipe que, pour un certain horizon d'investissement, l'inflation sera plus élevée que le point mort d'inflation, il doit choisir des obligations liées à l'inflation plutôt que des obligations gouvernementales classiques.

Ainsi, les obligations liées à l'inflation ont tendance à sur-performer les obligations au début d'un cycle inflationniste et à à sous-performer au début d'un processus déflationniste.

Vous devez également garder à l'esprit que les obligations liées à l'inflation sont dans la plupart des cas moins liquides que les obligations gouvernementales classiques dans le marché secondaire. et que la prime de liquidité peut varier.

Dans une perspective d'équilibre d'un portefeuille, les obligations liées à l'inflation ont des caractéristiques qui en améliorent l'efficience.

La table 2 montre la corrélation des rendements entre les obligations liées à l'inflation (US TIPS) et les autres classes d'actifs.


Fait intéressant, les obligations liées à l'inflation sont corrélés négativement avec les marchés actions, offrant ainsi un support de diversification, même si, de toute évidence, la corrélation entre les classes d'actifs peut changer au fil du temps.

En outre, comme on le voit dans la figure 4, la volatilité (une mesure du risque) des obligations indexées sur l'inflation est beaucoup plus faible que pour les actions et les obligations corporate HY (sociétés à rendement élevé).



Conclusion:

Ce n'est qu'une technique parmi d'autres pour lutter contre l'inflation.
Il est surtout important de considérer l'ensemble de votre portefeuille et d'en assurer une bonne répartition.

Enfin, est-ce le moment d'investir dans des obligations liées à l'inflation ?

Ce n'est pas très urgent, si l'inflation tarde à s'installer. A suivre avec attention.

Si le retour de l'inflation se profile, alors comment investir dans les obligations liées à l'inflation ?

Voici un comparatif de quelques fonds que nous mettons sous observation afin de disposer le moment venu d'une information la plus complète possible.

Critères de sélection: performance, distribution France et/ou Belgique et/ou Suisse et/ou Luxembourg, devise EURO ou CHF. La sélection n'est pas exhaustive, vous pouvez vous-mêmes proposer des fonds (ou des gérants en mode "managed account"), n'hésitez pas: Yves.Belmont.email@gmail.com

Le comparatif de fond permet plusieurs classements selon les critères de performance (année en cours, années précédentes), Peak to valley (calcul sur base trimestrielle) et Calmar . Pour plus d'explications sur le Peak to valley et le Calmar , cliquez ici.

Ce comparatif de fond est dynamique dans le sens où les classements sont mis à jour chaque mois.

Pour accéder au comparatif de fonds, cliquez ici (pour atteindre ensuite les interviews des gérants, cliquez sur les descriptifs de chaque fond --> Click valor to learn more:).

Avertissement valable pour tous les fonds:

Au moment de souscrire un fond de placement, attention, l'industrie des fonds de placement a beaucoup de peine à faire entendre sa voix sur le plan politique.
Ainsi, la distribution des fonds de placement en est restée au siècle dernier, voire au moyen âge.
La libre circulation des fonds de placement n'est pas et de loin une réalité.
En clair, souvent vous ne pouvez investir dans un fond de placement que si celui-ci a été approuvé dans votre pays.
Heureusement, il y a des pays plus libéraux que d'autres.

Donc, vérifiez toujours directement avec le distributeur du fond si vous êtes éligible.
Vous pouvez aussi demander à votre banquier, mais celui-ci sera bien sûr peut-être enclin à vous diriger vers des produits de sa banque.

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15 janvier 2010 5 15 /01 /janvier /2010 06:51
Par Yves Belmont

Depuis quelques années, vous pouvez éliminer le risque d'inflation via des obligations liées à l'inflation (inflation-linked bonds, abrégé ILB).

Le principe est le suivant :

Quel que soit le niveau de l'inflation pendant la durée de l'obligation (par exemple dix ans), vous retrouvez votre pouvoir d'achat à l'échéance. Autrement dit, vos 100 € investis seront toujours 100 € en pouvoir d'achat. Contrairement aux obligations classiques, les obligations liées à l'inflation vous donnent un rendement réel.

Concrètement, ce sont des obligations dont les intérêts et le capital s'ajustent en fonction du taux d'inflation observé.

Mais évidemment, tout a un prix. En échange de cette protection contre l'inflation, les coupons sont un peu inférieurs à ceux des obligations classiques.

Pourtant, dans certaines circonstances spécifiques, les obligations liées à l'inflation peuvent générer des suppléments de performance par rapport aux obligations d'État.

Comme les obligations liées à l'inflation sont principalement émises par les administrations, elles font face aux mêmes risques de crédit qu'une obligation gouvernementale et on peut s'attendre à un rendement similaire.

Pourtant, ce n'est pas toujours le cas.

Si l'inflation devrait se révéler plus élevée que prévu par le marché, les obligations liées à l'inflation devraient surperformer les obligations d'État nominales.

Un moyen pour calculer les anticipations d'inflation sur le marché est la notion de point mort d'inflation (breakeven inflation):

C'est la différence entre les rendements des obligations gouvernementales classiques et de l'inflation liés à des titres du même émetteur et de même durée jusqu'à l'échéance.

La figure suivante donne une illustration du point mort d'inflation pour la France :



Obligations-lndexees.JPG


Alors, quel est le bon moment pour investir dans les obligations liées à l'inflation ?

Prochainement, je vous donnerai quelques éléments de réponse ainsi qu'un comparatif et des interviews de gérants.

Vous pouvez vous-mêmes proposer des fonds (ou des gérants en mode "managed account"), n'hésitez pas : Yves.Belmont.email@gmail.com


A lire aussi:
Inflation, déflation, reflation, désinflation ... Où sommes-nous aujourd'hui ? Où allons-nous ? Réponse en image

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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 06:45
Par Yves Belmont.








L'analyse des OPCVM est un sujet passionnant. Chaque professionnel responsable d'un fond le gère avec sa méthode, sa personnalité et fait des choix qui engagent l'épargne de ses clients mais également sa réputation.

Je suis souvent surpris de la performance des meilleurs fonds actions et à l'opposé des mauvais résultats de certains de leurs confrères.

Timing différent ?
Choix plus intelligent des supports ?
Meilleure utilisation des dérivés ?

Toujours est-il que certains fonds se démarquent par la qualité de leur gestion. Les identifier est devenu ma spécialité.

J'ai donc été très heureux lorsque Jean Christophe Bataille m'a proposé d'animer une rubrique sur les SICAV et FCP. La première question que je me suis posée est celle des sujets qui pourraient vous intéresser, vous, les déjà très nombreux visiteurs de Futures.

Voici la liste, non exhaustive, de ceux auxquels j'ai pensé. J'ai classé ces sujets selon 4 axes thématiques :

Actualité des fonds
- Les enseignements de l'affaire BBVA-Carmignac,
- Les conséquences de l'affaire Madoff (suite et pas fin),
- Est-ce le bon moment pour investir dans les fonds ... <or et métaux précieux>, <Chine>, <etc> ...

Recherche
Identifier, suivre et contribuer à faire connaître les gérants qui parviennent à créer des instruments de placement apportant une réelle valeur ajoutée à un patrimoine (déjà au moins du point de vue diversification). Ceci, notamment en terme de techniques employées (par exemple: long-short sur immobilier), de modèles mis en oeuvre, de champ d'investissements (par exemple: écologie, développement durable, énergie renouvelable, traitements des déchets, nano-technologie, micro-crédit, nouveaux pays émergents, etc), de technologies développées ou encore de manière de couvrir les risques. C'est en effet parmi les gérants les plus innovants que se trouvent la plupart des gagnants de demain.

Aide à la décision
- Comment évaluer et comparer les fonds ?
- Quels sont les critères d'évaluation (Transparence, liquidité, gestion des risques, performances, Peak-to-valley, Calmar, etc ...)

Mise en oeuvre
- Check-list à l'achat d'un fond.
- Comment éviter les fonds de type "Madoff",
- Sortie en capital : quand faut-il vendre ?

A vous de réagir ...

1. Qu'en pensez-vous ?
2. Quels sont les 2 sujets qui vous intéressent le plus ?
3. Avez-vous des idées pour d'autres sujets ?

N'hésitez pas à vous exprimer. Proposer n'est pas imposer. Le propre d'un blog est de partager ses connaissances et ses idées avec le plus grand nombre afin que les interventions de chacun s'additionnent et se développent en créant ainsi une valeur ajoutée rendant le groupe plus intelligent que la personne la plus intelligente en son sein.

A bientôt sur Futures

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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 00:00
Par Yves Belmont









De tout temps, les investisseurs ont été confrontés à quatre questions essentielles :

Quand faut-il acheter ?
Que faut-il acheter ?
Quand faut-il vendre ?
Que faut-il vendre ?

Le processus de décision que je vous propose comporte plusieurs étapes.

Ces étapes sont formulées sous forme de questions.

Les bonnes réponses à ces questions dépendent non seulement d'un examen approfondi des dimensions macro-économiques et géopolitiques, de l'évolution des prix, de la psychologie des marchés et des valeurs qui y sont traitées, mais aussi des instruments et des outils susceptibles de fournir une vision synthétique.

Avant tout, il s'agit de minimiser le risque d'erreurs lié au choix d'un investissement et d'optimiser le moment de son exécution.

1. Quelle est la tendance de fond ?

2. Quelles sont les catégories d'investissement les plus prometteuses ?

3. Qui sont les meilleurs gérants dans ces catégories d'investissement ?


Par une heureuse coïncidence, cette répartition en trois groupes correspond à l'organisation de ce blog.

Ainsi, vous trouverez ici des idées pour vous aider à répondre à ces trois questions fondamentales:

La rubrique SICAV et FCP traite essentiellement du point 3. Comment rechercher, identifier, évaluer et suivre les meilleurs gérants dans la catégorie d'investissement que vous avez ciblée.

Les réponses aux questions 1 et 2 sont surtout à chercher dans les autres rubriques de Futures.

A mon avis, ce processus a l'avantage d'aborder des problèmes complexes de manière simple. De créer une typologie et une hiérarchie dans les différentes questions et sous-questions à traiter. Comme une valse en trois temps, ce processus est facile à comprendre.

Parce que le mode change et parfois de manière brutale comme en 2008, il est important de réévaluer périodiquement ses décisions d'investissement. Une décision a pu être excellente dans un certain contexte. Au fil du temps qui passe les conditions initiales se modifient et appellent d'autres décisions.

Avez-vous des exemples concrets à me soumettre qui illustrent une situation où il est important de réévaluer périodiquement ses décisions d'investissement ?

A bientôt sur Futures.


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Jean Christophe Bataille

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